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Thomas Ibanez Quartet invite Grant Stewart au Fil pour le Rhinojazz(s)

Ce soir on tombe le rideau du RhinoJazz(s) cuvée 2019. Les oenologues du jazz sont formels la cuvée fut bonne !
Et pour ce faire on ouvre une bonne bouteille au Fil, un assemblage des meilleurs crus du bop.
Le public est venu nombreux célébrer cette dernière soirée. Ça fait chaud au cœur de voir qu’on est obligé de rajouter des fauteuils.

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Thomas Ibanez Quartet à la Ferme à Jazz : une chance

Dans le cadre du Jazz Day, le Conservatoire à Rayonnement Départemental et la Ferme à Jazz ont unis leurs efforts afin de proposer un concert au top. Le directeur du C.R.D. Xavier Marcon et le président de la Ferme à Jazz ont été bien suivi : c’est dans une salle comble que s’est produit le Thomas Ibanez Quartet.

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Le capitaine Yves Abensour tient bon la barre du Sirius et la barre du Jazz ! Il déclare avec conviction et enthousiasme qu’il est attaché à ces concerts d’avant Jam et aux concerts mensuels du dimanche à 18h30 dans sa programmation.

Pour ce mardi, le Sirius ouvre la tournée des concerts lyonnais de Thomas Ibanez. L’enfant du pays revient pour une semaine dans les clubs de jazz de Lyon, consultez notre agenda. Il a réuni pour ce soir des amis sur la scène du Sirius avec une excellente section rythmique composée d’Olivier Truchot au piano, Patrick Maradan à la contrebasse et d’une jeune recrue à la batterie : Emilian Ducret. Le quartet fonctionne à merveille sur des compositions personnelles et sur plusieurs standards. Les titres alternent ballades sur lesquelles le saxophoniste nous charme avec des notes longues et chaleureuses, et des morceaux bop plus fougueux, sur lesquels il excelle avec dextérité. Il laisse comme à son habitude un espace d’expression à ses partenaires musicaux, dont le trio montre une parfaite cohésion et un soutien sans faille. Chacun prend ses solos tour à tour, le pianiste avec beaucoup de lyrisme dans son jeu, le contrebassiste avec une régularité inébranlable sur le rythme et le batteur avec déjà une pratique de haut niveau pour son jeune âge : 18 ans.

La cave de La Clef de Voûte est étonnamment pleine en cette période de fêtes de fin d'année. Toutes les places sont occupées, des chaises jusqu'aux dernières marches du haut de l'escalier. Le froid et la maigre programmation de concerts de cette période hivernale ont sans doute attiré un public nombreux pour ce répertoire de Noël. Et le Quartet de Thomas Ibanez nous surprend avec une interprétation des standards traditionnels de Noël dans son rythme et sa fougue Be-Bop habituelle.

Cette initiative est agréable car d'autant plus rare chez nous où les chants de Noël nous paraissent communément "Cul-cul la praline" ! Alors qu'il s'agit d'une habitude qui est entrée dans les mœurs aux Etats-Unis où tous les artistes ont réalisé un album de chants de Noël ; de Franck Sinatra à Bob Dylan en passant par Nat King Cole et Samy Davis Jr, et bien d'autres...

Comment ne pas applaudir la persévérance de la démarche du "Thomas Ibanez quartet" (Thomas Ibanez: saxophone ténor ; Joachim Expert: piano; Jocelyn Perrier: batterie et Thomas Belin: contrebasse), quand le fruit de fin d'été est à point et goûteux, et qu'avec nous, le public du Péristyle peut accueillir et croquer ce jazz swinguant et rigoureux, cette musique dansante et précise, telle qu'elle a été bien pensée, voulue et jouée ?

Autour du 15 août donc, la formation s'est produite en ville et a su convaincre et conquérir.

Thomas Ibanez fait partie de ces musiciens originaires de la région, dont l'audience s'est élargie peu à peu au niveau national et qui, n'en doutons pas ira plus loin encore.

Le groupe pratique un jazz de facture apparemment classique par la configuration en quartet: sax ténor, piano, basse, batterie. L'innovation vient de la construction musicale, les mélodies sont originales et les structures rythmiques riches sans être absconses, mais lisibles au point d'en être jubilatoires. Piano, basse, batterie, l'un tient le tempo pendant que les autres chantent à deux voix. Sur cet accompagnement lumineux, Thomas Ibanez, musicien d'une élégance discrète, sans ostentation, tout d'intériorité, va puiser au fond de lui des trésors mélodiques d'une grande sensibilité et nous fait partager des émotions rares.

Michel Mathais

Nous étions quelques-uns à nous être donnés rendez-vous au Second Souffle, pour y passer un de ces délicieux moments que cette adresse nous réserve, avec toujours cet accueil simple et chaleureux, humain, et qui plus est très professionnel, qui fait un des charmes incomparables de cet endroit.

Bien sûr, ce que nous avons pu déguster ce soir-là avait la saveur et la qualité des autres soirs. Mais sur la scène se produisaient deux musiciens que nous n'avions pas écoutés depuis un certain temps, et là, nous pouvons dire que nous avons été enchantés. 

A La Clef de Voûte ce 11 septembre, ce fut une rentrée comme je les aime : un club plein comme un œuf, des musiciens venus nombreux pour le bœuf. "Ils sont venus, ils sont tous là,... avec des chorus pleins les doigts...".

Elle va vivre encore dix ans comme ça... La clef. Avec pour commencer un combo de chauffe :Stéphane Vincenza au piano, Thomas Ibanez au saxophone ténor, Josselin Perrier à la batterie et John Zidi à la contrebasse.

Joli chemin parcouru pour Thomas Ibanez qui joue pour la première fois à Jazz à Vienne, avec son quartet tout nouveau. Et ceci seulement quelques jours après la sortie de son premier album "Mug's suite".

L'équipage est le même : Joachim Expert au clavier, Ben Guyot à la contrebasse et enfin Marc Michel à la batterie. Bien sûr Thomas Ibanez est au sax ténor.
Le répertoire est collégial avec une valse de Marc, une "Short Story" de Ben et les "Mugs" qui ont donné le nom à l'album.

L'Esplanade Saint-Vincent est désormais bien ancrée dans le paysage des nuits viennoises. Des amateurs reviennent fidèlement à chaque soirée bimensuelle de jazz. La confiance dans le goût de François Robin, qui assure la programmation, est totale. La preuve, ce soir, pas de "grand nom" à se mettre sous l'oreille mais l'assistance est bien fournie.

L'année commence plutôt calmement avec le premier concert qui se déroule à la Clef de Voûte. Nous sommes mercredi, c'est donc une Jam Session. Aux manettes pour animer le truc, un quartet peu courant avec Joachim Expert au piano, Thomas Ibanez (toujours) au sax ténor, Gauvain Gamon à la contrebasse et Romain Sarron aux baguettes et balais.

Le nouveau projet de Thomas Ibanez fan déclaré de Joshua Redman commence par une valeur sûre de son idole : Chill (issu de Mood swing de 1994)
Mais dès le deuxième morceau on entre dans l'univers du saxophoniste qui a beaucoup travaillé ses compos depuis quelques mois et nous en livre des toutes fraîches à commencer par une "suite" de trois morceaux : Mug's suite dont le premier mouvement nous plonge dans une ambiance à la Sony Rollins. Fin du premier set sur un Polkadots and Moonbeams bien tonique dont on reconnaît quand même le thème.

Orchestre de circonstance à la Clef de Voûte. Les quatre potes avaient une date de libre en commun, ils décident de former un quartet d'un soir et affichent la couleur : "one night group". Happening éphémère dédié à Joshua Redman, saxophoniste qu'on ne présente plus, et heureusement encore de ce monde, et pour longtemps espérons le, avec ses quarante-deux ans.

L'affiche de la Clef de Voûte de ce soir aura eu raison de sa popularité : la salle est pleine et l'assistance comblée. Au menu : TYME quartet. Comprenez plutôt l'association détonante du saxophoniste ténor Thomas Ibanez et du trio EYM composé d'Elie Dufour (piano), de Marc Michel (batterie) et deYann Phayphet (contrebasse).